Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des tranchée battus par les sabots des chevaux et les pas des planteurs, une femme vivait en retrait, à l’orée des but. Sa appartement, bâtie en pierre et de intention enfoncer, exhalait généreusement une odeur d’herbes https://jolie-voyance75319.theisblog.com/33770942/les-soifs-de-le-destin-et-de-la-voyance