Le manoir se dressait, soumettant, en plein milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les chemins envahies par les ronces, une constitution de verre et métallisé résistait encore au générations : une serre oubliée, cachée arrière un mur de végétation sauvage. Julien, https://hectorddzuo.yomoblog.com/40344632/le-jardin-des-obscurcissements-statiques