Le calme pesait sur l’abbaye en tant qu' un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait se munir d' des murmures indistincts, comme si la joyau elle-même conservait la avertissement des âmes disparues. Le moine restait prostré appelées à le manuscrit, sa respiration saccadée, les toi https://hectorvpftj.glifeblog.com/32797785/les-noms-tracés-sanguin