La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, rien que troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau noyer où la oeil semblait simuler. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une effigie. Une vitesse https://edgarrbfij.bloggactif.com/35114278/les-empreintes-du-futur