Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son rite, attendait que l’obsidienne parle à futuriste. La joyau black semblait absorber la clarté de lune, pervibrer sous la pression du vent, et voire, sans avertir, elle résonnait de cette voix https://zionuisbl.dm-blog.com/33926142/les-traces-effacées