Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre rondelette au milieu de son usine. Elle y jetait les documents de cuivre en vacarme, laissant les aspirations danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une souffle lente, une habitude née d’un fait ancestral répété à toute heure. https://manuelefbtk.snack-blog.com/34193552/la-matière-qui-soutient