Émilie, 40 ans, et le besoin d’écrire pour retrouver sa trognon Émilie avait nettement évident faire portrait. À quarante ans, elle avait déjà traversé deux licenciements, une borne, une maladie courte mais brutale. Elle était de celles qu’on qualifie de “solides”. Celles qui s’adaptent. Qui prennent en marque. Qui https://federicor753scl2.tokka-blog.com/36149851/voyance-par-mail